Autour du slogan « Parlons santé mentale ! », le Gourvernement a décidé de faire de la santé mentale la grande cause nationale 2025.
2025 sera donc une année de sensibilisation pour libérer la parole sur ce sujet, favoriser l’écoute et faire comprendre qu’il n’y a pas de santé sans santé mentale.
Composante essentielle de la santé, la santé mentale est définie comme « un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté ».
Ainsi, se sentir en bonne santé mentale c’est bien plus que l’absence de troubles psychiques.
Cependant cet état de bien-être peut être perturbé par des affections psychiques. L’individu est alors dans l’incapacité de s’adapter aux situations difficiles voire douloureuses et de maintenir son équilibre psychique.
Les troubles psychiques touchent environ 27% de la population française et 75% des affections psychiatriques débutent avant l’âge de 25 ans.
En psychiatrie, les droits des usagers sont complexes et souvent méconnus. Les instances listées ci-dessous s’inscrivent dans une démarche de démocratie en santé, afin de permettre aux usagers de participer aux décisions concernant l’organisation des soins et l’accompagnement.
Les dispositifs de coordination santé mentale
- Les conseils locaux de santé mentale (CLSM)
- Les Groupes d’Entraide Mutuelle (GEM)
- Les Projets Territoriaux de Santé Mentale (PTSM)
- Les Communauté Psychiatriques de Territoire (CPT)
Les dispositifs de coordination publics vulnérables
Sur ce sujet de la démocratie sanitaire, nous vous conseillons également la lecture des brochures « droits en psychiatrie » du site Psycom